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 Stella Fox - Vampire

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Stella Fox
Vampire

Stella Fox

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  • Sous-Lieutenant

Points : 1075
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Stella Fox - Vampire Empty
MessageSujet: Stella Fox - Vampire   Stella Fox - Vampire EmptyMer 5 Mar - 10:55

Nom : Fox

Prénom : Stella

Surnom : Spotlight (Par Ajartiel)

Âge : 25 ans (14 ans en apparence)

Sexe : Fille

Race : Vampire

Histoire : C’est le 14 mai 1995, à Sherbrooke au Québec que vint au monde la petite Stella Fleurant. L’infirmière pris le nouveau-né et le déposa dans les bras de Madison. La mère, émue, caressa doucement la joue de sa fille et y déposa un baiser affectueux. Elle savait qu’elle devait en profiter car ces doux instants seraient courts. Geneviève, sa tante, serait très bientôt dans un avion vers Montréal pour venir récupérer la petite poupée aux cheveux noirs que Madison appelait la chair de sa chair. Heureusement qu’ils étaient à plus de 2 heures de l’aéroport, cela lui laisserait un peu plus de temps avec Stella. L’idée de devoir se départir de sa petite lui brisait le cœur. Cependant, il était évident que du haut de ses quelques 13 années de vie, il lui était impossible de fournir à Stella la vie dont elle méritait.

Le lendemain, Geneviève arriva à l’hôpital avec son conjoint : John Fox. Tous deux s’éprirent rapidement des airs enchanteurs et des yeux azurs de bambin. Il ne leur fallut que quelques jours pour finaliser les papiers d’adoptions et Stella arriva à l’aéroport Charles de Gaulle le 13 juin sous un nouveau nom : Fox.

L’adaptation fut plutôt difficile dans les premières semaines. Ni Geneviève, ni John n’avait jamais particulièrement voulue d’enfants. Les levées la nuit, les pleures incessants, les grandes soirées auxquels ils ne pouvaient plus participées. Leur vie changea complètement. Néanmoins, John se trouva un grand esprit paternel et lia rapidement avec sa grande-nièce, maintenant sa fille adoptive, une relation très étroite. John adorait particulièrement gâter la gamine, s’assurant que Stella ne recevait que le meilleur du meilleur. Geneviève, de son côté, assurait d’éviter que le tout ne tombe en excès et avait souvent le rôle de figure disciplinaire. La petite famille vécu un parfait bonheur pendant un peu plus de trois ans ; jusqu’à ce que John tombe malade. Le diagnostic était brutal : Cancer du poumon droit stade 4. Il n’y avait plus grand chose à faire sauf espérer qu’un poumon viable ne soit disponible pour remplacer celui de John. Malheureusement, le don ne vint jamais et le père adoptif de Stella mourut doucement dans son sommeil dans une maison de soins palliatifs privée en Provences.

Après le décès de John, Geneviève se lança corps et âme dans son emploi comme chorégraphe pour le Ballet de l’Opéra national de Paris. Laissant Stella, plus souvent qu’autres choses, seule à la maison avec différentes nounous qui allaient et venaient. Bien qu’elles n’étaient pas présente, Geneviève s’assurait que le temps de Stella soit bien occupé par diverses activités comme des groupes d’activités parascolaires organisées par l’école élémentaire privé que la fillette fréquentait ainsi que (et sans surprise) le Ballet. La fillette n’avait jamais particulièrement bien aimé l’activité et y participait particulièrement pour faire plaisir à celle qu’elle appelait « Tante Ginette ». Après tout, même si celle-ci était absente la plupart du temps, elle se présentait à chaque année au récital de la petite troupe dans laquelle Stella dansait.

Malgré tous ses efforts, elle fut virée de la troupe à l’âge de 13 ans pour s’être présenté en cours les cheveux teints en rose et son caractère bavard. Par ailleurs, ce changement de look drastique n’était qu’un facteur aggravateur aux comportements trop enjoués et moqueurs de la jeune fille qui préférait parler avec ses amis ou inventer des dances loufoques (a.k.a une dance qu’elle nomma « la dance du canard ») au lieu de pratiquer ses « Pas de deux ». La nouvelle tête de l’adolescente attira également les foudres du collège privé qu’elle fréquentait et se retrouva transférer vers un collège public pour terminer sa scolarité.

Si Geneviève semblait exaspérée par les agissements de sa protégée, il n’en était pas moins que ce changement d’environnement vers un cadre un peu moins structuré permis à Stella de s’épanouir plus aisément. Elle se fit rapidement plusieurs amis proches et devint même capitaine de l’équipe de football du collège. Elle passait la majorité de ses temps libres avec ses deux nouvelles meilleures amies Léonie et Chloé, au lieu de rester à la maison seule.

Léonie était le genre de fille grande et blonde qui attirait les regards des garçons plus vieux. Ainsi, elle se retrouva à plusieurs reprises invitée dans des soirées en compagnie de lycéens. Chloé, une brunette plutôt timide préférant les dessins animés japonais à toute autre chose ne s’y apprêtait que rarement. Ainsi, Stella ayant évolué dans un monde tout à fait différent, accompagnait Léonie de bonne foi. Curieuse de découvrir tout ce que la vie avait à offrir, elle acceptait les verres d’alcool mystérieux et les conversations avec les étrangers.

Un, en particulier, captiva toute son attention. Il était la parfaite image de ce que toute jeune fille issue d’une famille aisée s’imaginait ce qu’un « mauvais garçon » pouvait-être. Il était grand et pâle. Ses cheveux foncés cachaient partiellement ses yeux et il était vêtue de noir de la tête aux pieds. Difficile de dire son âge mais Stella s’y tenta tout de même. Leurs conversations étaient plutôt brèves. Le garçon, nommé Augustin, s’éclipsant souvent sans un mot de plus, laissant Stella en plan, un peu hébétée. Elle ne savait pas grands choses sur lui, sauf qu’il ne fréquentait aucun lycée dans la région parisienne, ses parents préférant l’éduquer à la maison apparemment.

Le ton sembla changer lors d’une fête un soir d’automne. Au lieu du rejet habituel auquel Stella s’était acclimatée, Augustin portait un intérêt particulier à la jeune fille aux cheveux roses. Enchaînant des commentaires flatteurs avec des questions se voulant inquisitrices sur la vie de Stella. Aux petites heures du matin, Augustin guida Stella vers une chambre vide de l’appartement ou la fête se déroulait. Nerveuse, l’adolescente suivis le garçon espérant, peut-être pouvoir enfin vivre son premier baiser. Elle ferma les yeux et soudain, une douleur atroce dans sa nuque. Elle voulait crier mais elle était muette. Mais qu’est-ce qu’il lui faisait ? La douleur continua quelques minutes, tandis que Stella essaya de repousser Augustin. Un épuisement soudain s’emplis d’elle et puis… Plus rien. Elle ne savait pas combien d’heures elle avait passé allongée sur le sol jusqu’à ce que Léonie ne la secoue violement pour la réveiller. Endolorie et fatiguée, elle ouvrit les yeux doucement. Augustin était partit.


« Stella ? Stella ! Mais qu’est-ce qui s’est passé ? »

La jeune fille frotta ses yeux grogne. Elle répondit quelque peu gênée : « Je ne sais pas. Il y avait Augustin, et puis j’ai cru qu’il voulait m’embrasser mais… »

Léonie frotta les épaules de son amie, tentât du mieux qu’elle pouvait de la réconforter. Elle prit un air sérieux et demanda à son ami : « Il a pas essayer de… ? »

- Oh mon dieu ! Léonie ! Non ! Rien ! répondu l’adolescente.

***

Comme la plupart des adolescents, il était dans les habitudes de Stella de se réveiller tard les week-ends. Cependant, cette fois elle ne s’extirpa des bras de Morphée qu’en fin d’après-midi. Elle sursauta à la vue du cadran lumineux sur sa table de nuit. 3h45. Elle bondit hors du lit, énervée d’avoir loupé tout un samedi au lit. Elle se rendit à sa fenêtre et ouvrit les rideaux d’un mouvement fort, les œillets métalliques de ceux-ci frottant à grande vitesse sur la tringle et se butant contre les pommeaux décoratifs. Stella leva la tête, surprise d’un tel élan force. Les rideaux étaient en lourd velours épais, il était habituellement très difficile de les déplacer, même sur la tringle.

Sa surprise fut interrompue par une douleur cuisante sur son visage et ses bras. La jeune fille poussa un cri de douleur avant de se plaquer sur le mur adjacent. Elle regarda ses bras, curieuse. Peut-être que quelqu’un avait glissé un truc pas sain dans son verre la veille et qu’elle y faisait une réaction quelconque ? L’adolescente s’accroupie au sol, recroquevillée sur elle-même, confuse. Elle allongea un bras, doucement, en direction de la lumière. Lorsque celui-ci dépassa la fenêtre, la même douleur intense se produisit à nouveau. Stella ramena son bras vers elle rapidement.

Toujours plaquée contre le mur, elle tenta d’agripper un coin du rideau et de le glisser fermer. Au moins elle aurait maintenant accès à la moitié de sa chambre. Elle se leva doucement et se rendit vers sa grande maquilleuse sur laquelle jonchait plusieurs différents bracelets, colliers et palettes d’ombres à paupières brillantes. Elle s’assit sur la petite chaise de bois, appuya sur sa petite chaine stéréo sur laquelle était branché son iPod rouge et observa son visage attentivement. Elle avait toujours été plutôt pâle mais ce matin (ou cet après-midi) c’était différent. Sa peau était… terne et étrangement froide. Elle fit une grimace et tira sur son visage à la recherche de… En fait, elle ne le savait pas. Ça semblait être la chose à faire. Ce n’était pas ce qu’ils faisaient dans les films ? Cependant, rien ne semblait hors de l’ordinaire.

D’une main ferme elle saisit sa brosse à cheveux pour essayer de dompter sa crinière rose elle avait dû faire de sacrés rêves hier soir ; ils étaient dans un sacré état.

D’un coup de brosse, elle repoussa les cheveux du côté droit de sa tête vers l’arrière exposant sa nuque et vue… C’était quoi ça ? L’adolescente fronça les sourcils et approcha son visage de la glace pour mieux observer. D’une main douce, elle guida sa main vers les deux petites galles rouges. Est-ce que Augustin l’avait mordue ?! Non… Impossible !


« Wow, ces gothiques se prennent vraiment trop au sérieux de nos jours. », pensa Stella dégoûtée.

Plus ou moins satisfaite de ses cheveux, elle troqua son pyjama pour un simple jean et un t-shirt noir. Elle avait généralement l’habitude de mettre un peu plus d’effort dans ses habits ; préférant l’exubérance et les choses brillantes au confort, mais elle avait drôlement faim. Ah oui, c’était évident. On avait mis quelque chose dans son verre hier soir et elle devait y avoir répondue pas un genre de réaction allergique ou peu importe. Tsssss. Ça lui apprendra de : 1 Boire avant l’âge légal, et de 2 accepter des verres des étrangers. Elle devait avoir complètement cramé son métabolisme. Et puis après tout, ça expliquait tout ! Son grand besoin de sommeil, la réaction au soleil, la faim…

Elle descendit rapidement les marches menant de l’étage jusqu’à la cuisine, évitant les grandes fenêtres découvertes. Sur le comptoir trainait une note de Geneviève. Elle ne serait pas à la maison ce soir. Elle avait un dîner bénéfice après son après-midi à l’Opéra et ne serait de retour que tard ce soir. Ainsi, elle était toute seule ce soir. La nounou, même si elle n’en avait plus vraiment de besoin, était en congé tous les samedis depuis que Stella avait l’âge de se garder toute seule. La femme de ménage non plus ne travaillait pas le week-end…

…Donc personne pour juger ses choix alimentaires pour déjeuner ! Stella se frotta les mains en avançant vers le garde-manger. Tartines au Nutella, Oréos, une barre Milka aux petits beurres peut-être ? Tout était permis ! Étrangement, autant que la perspective de l’excès de calorie devrait captiver tout adolescent, une fois devant l’armoire elle n’avait plus envie de rien… Mais toujours aussi faim. Elle risqua tout de même quelques Oréos. Assise sur l’ilot de la cuisine, la boîte à biscuit sur les jambes, elle en avala un puis deux, puis quatre. Même si leur goût en était plaisant elle ne se sentait pas mieux par leur absorption. Et puis elle pensa à ce mot qui trainait dans sa tête : « absorption » ? Depuis quand elle traitait la nourriture de la sorte ?

Stella déposa la boîte de biscuits sur le comptoir, déconcertée par sa propre réaction. Secouant ses mains pour se défaire des petites miettes collées sur celles-ci, elle obliqua vers le frigo et décida qu’il serait son sauveur. Elle arpenta les étagères à la recherche de la moindre subsistance, passant rapidement par-dessus les légumes. Son regard s’arrêta sur un petit paquet bien caché dans le fond d’une étagère ; un petit emballage sous-vide sur lequel traînait une étiquette. Du boudin. Pour une raison ou une autre, celui-ci semblait beaucoup plus appétissant que toutes autres choses qui traînaient autour. L’adolescente agrippa l’emballage, déchira un coin et en engloutis son contenue comme un enfant avale une pochette de Capri-Sun.

C’était… délectable ? Bon ? Délicieux ? Pourtant, elle n’avait jamais été véritablement fan de ce genre d’aliment. Mais ça remplissait bien l’adolescente. Une sensation agréable et puis… L’adolescente connecta les différents points ensembles… La sensibilité au soleil, les marques dans son cou, la peau blanche et froide, l’effet de rassasiement du sang… Non… Impossible…

Non, non, non, NON ! Stella accourue dans sa chambre et retourna devant la glace. Elle sourit et passa sa langue sur ses dents. Ses canines… elles semblaient plus pointue. En jouant avec sa langue, elle se surpris même à s’y écorcher. La jeune fille mena la main à sa bouche pour essayer de dissimuler son cri. Augustin était un vampire ! Et il ne s’était pas seulement nourri sur elle, il l’avait transformé ! Dans un élan de frustration, la jeune fille lança le premier objet qu’elle vue trainer sur sa maquilleuse et l’envoyer dans le miroir, le craquant en son plein milieu. Elle recula de quelques pas, incertaine de ce qu’elle devait faire. Aller dehors ? Non, trop risqué, le soleil lui brulait la peau. Rester à l’intérieur ? Et si sa tante revenait du dîner et qu’elle tentait de la bouffer ? Elle ne pourrait jamais se le pardonner. De plus, elle avait toujours faim…

Elle passa plusieurs minutes debout dans le milieu de sa chambre, cherchant la meilleure solution possible. Elle ne pouvait pas mentir à sa tante. Et si elle devait la forcer à aller à l’école, il lui arriverait quoi ? Genre, si elle devait aller au soleil ? Et si elle avait faim en étant avec Léonie et Chloé, serait-elle vraiment capable de leur faire du mal ?

Ultimement, Stella décida que la fuite était la meilleure solution. Elle attrapa son sac d’école à bandoulière, décoré de plusieurs macarons et de bidules, et en vida son contenue sur son lit. Elle ouvrit ses tiroirs et en sortit ses habits préférés, quelques accessoires et cassa sa banque pour y en sortir le peu d’argent qu’elle avait. Ca allait devoir suffire. Elle plaça le tout dans le sac, saisis son iPod, enfila un sweatshirt à capuchon et une paire de lunette de soleil en forme de cœur qu’elle attrapa en toute vitesse. Elle regarda sa chambre une dernière fois. Sur les murs roses planaient plusieurs affiches de ses groupes de musiques préférés, des photos avec ses amis… Tant de souvenir qu’elle devait laisser derrière… Était-ce la dernière fois qu’elle la verrait ? L’adolescente serra son sac contre elle et se dirigea vers la sortie.

***

Déjà 6 heures qu’elle avait quitté la maison. Stella n’avait nulle part où aller. Ses amies ne comprendraient pas. Elle errait dans les rues du marais à la recherche de peut-être quelques autres comme elle. Mais, comment elle pouvait les reconnaitre ? Elle n’avait pas reconnu Augustin, après tout. C’était peine perdue. Mais plus les heures avançaient, plus ce creux dans son estomac se faisait sentir à nouveau. Elle avait faim. Trop faim. Elle s’assis sur le trottoir et pris sa tête entre ses mains lorsqu’une main se pose sur son épaule. Elle tourna sa tête, surprise. C’était un cuisinier, visiblement en pause par la cigarette en ses mains et son tablier jonchés de taches.


« Et, petite. Tout va bien ? Tu m’as l’air mal en point. Tu veux un truc à bouffer pendant qu’on appelle tes parents ? », dit-il d’une voix aimable.

Stella hocha de la tête et saisit la main bienveillante qu’il lui offrit. Elle le suivit dans la ruelle derrière le restaurant et, avant même qu’elle ne puisse réagir, un instinct nouveau surgit en elle. Une fois à l’abris des regards, c’était comme si elle ne pouvait combattre l’envie, elle plaqua violement le cuisinier contre le mur de brique et plongea ses canines dans cou. Elle savoura le goût du sang dans sa gorge. Ça. C’était ça dont elle avait de besoin. Elle passa quelques minutes accrocher à celui qui n’avait voulu qu’être sympathisant avec elle lorsqu’une voix d’homme la fis sursauter derrière.


« Henri ? HENRI ?! Hey ! Qu’est-ce que vous faites ?»

L’adolescente tourna la tête. Elle n’avait même pas entendu la porte arrière du restaurant s’ouvrir tellement la sensation était bonne et maintenant un homme s’y tenait, un air menaçant sur le visage. Stella lâcha le cuisinier qui tomba lourdement sur le sol avant de prendre la fuite. Bien sûr qu’il ne la suivrait pas, il allait surement s’occuper de son collègue à la place… Mais quel pensée atroce à avoir…

La nuit était tombée sur Paris. Après avoir couru la distance de quelques pâtés de maisons, Stella s’arrêta subitement dans un quartier plus résidentiel. Elle se sentait observée. Elle vit du coin de l’œil une fourgonnette éteindre ses feux et puis une douleur perçante dans son cou. Elle leva la tête pour regarder les étoiles, mais c’était inutile, il n’y a pas d’étoile dans le ciel de Paris depuis longtemps… Et enfin plus rien…


Caractère : Stella est d’un naturel très douce et aimable. Elle adore faire des folies et parler franchement. Si aux premiers abords elle peut sembler quelque peu immature, elle a quand même une tête assez stable sur les épaules lorsque les choses deviennent sérieuses. Cependant, dû à l’environnement bien enveloppé dans lequel elle a grandi, elle manque clairement d’expériences de vie. Cela peut être rafraichissant pour certain et frustrant pour d’autres. Comme tout adolescent, elle est fluente en sarcasmes et plaisanteries plus que toutes autres choses. Elle se fâche rarement mais même lorsque c’est le cas elle se calme assez rapidement. Elle préfère, peut-être un peu naïvement, être heureuse et laisse peu de place dans sa tête et son environnement à la négativité. Sa transformation lui permet, d’ailleurs d’en profiter à son plein avantage. Après tout, elle a maintenant une véritable excuse d’agir comme une éternelle adolescente.

Amours/ami(e)s : Stella a toujours été du genre plutôt populaire. Sa personnalité attachante en attire plusieurs. Elle n’avait, cependant, pas vraiment eu de véritables « Meilleures amies » avant Léonie et Chloé. Elle est un peu trop jeune pour avoir eu des copains ou une vie amoureuse qui en vaillent la peine.

Physique : Ce qui attire le regard en premier chez Stella est définitivement son choix capillaire ; ses cheveux son teint en rose « Barbe à Papa » et elle entretient sa couleur méticuleusement. Sa couleur naturelle est cependant un noir-brun foncé, ce qu’on peut apercevoir par ses sourcils. Sa peau a toujours été très pâle mais cette pâleur est exacerbée par sa nouvelle condition. Dû à son jeune âge lors de sa transformation, quelques traits enfantins subsistent. Son visage est plutôt rond et dépourvue de toute marques de passage du temps. Elle a des grands yeux bleu-clair et une petite bouche aux lèvres pulpeuses. Son nez est légèrement retroussé lui donnant, somme tout, un air plutôt adorable. À cause de ses 8 ans de ballet, elle a développé une démarche plutôt douce mais décisive. Du haut de ses 165 centimètres, Stella est plutôt maigrichonne ; son poids est d’environ 45 kg. Elle est, donc, presque entièrement dépourvue de toutes courbes naturelles. Ceci est, cependant, tout à son avantage car cela lui permet d’être très agile et silencieuse en mission.

Côté vestimentaire, Stella adore les looks un peu plus loufoques et ludiques. Étant fan de culture japonaise et de « street style », cette influence est visible dans ses choix d’habits. Elle porte des pièces majoritairement noires qu’elle adorne de plusieurs bijoux, accessoires, de brillants et d’épaisseurs de vêtements diverses. Depuis son arrivé à la CAT, elle essaye de faire prédominer l’aspect confortable plutôt qu’esthétique de ses habits mais il y a encore du travail à faire… Elle affectionne particulièrement ses bottes de combats noires qu’elle porte presque tous les jours.

Signes particuliers : Elle a presque tout le temps son petit iPod Nano Rouge avec elle et une paire d’écouteurs noirs. Elle a un tatouage dans le dos. En fait deux. Elle a deux ailes d'ange noires tatouées.[/b]
 

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