| Aela Ange
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| Sujet: Aela - Ange Mer 5 Mar - 10:46 | |
| Voici la version 2.0 (dans ce cas-ci une nouvelle fiche) incluant l'ajout de la disparition (2014) d'Aela:Nom : Adams, mais peu le savent. Prénom : Elle se fait appeler Aela (qui signifie Ange (ou messagère, ce qui veut dire la même chose en fait) en latin ou en breton je crois) Vrai prénom: Magalie Surnom : Ael et A Âge : Elle a physiquement l'air d'avoir 18 ans (l’âge où elle est morte), elle est revenue à la « vie » 100 ans plus tard et elle a vécu très peu de temps avant de se faire recruter par la C.A.T. Sexe : Jeune femme Race : Ange Histoire :Ma vie est un long chemin sans fin Et je ne sais pas très bien où je m´en vais Je cherche dans les faubourgs et les villes C´est dans l´espoir d´accomplir mon destin 1891Magalie, du haut de ses six ans, monta les escaliers à toute vitesse et se percha sur un tabouret. Sur la pointe de ses pieds, elle regarda par la fenêtre et sourit de toutes ses dents lorsqu'un corbeau se posa sur une branche face à elle. L'oiseau noir croassa et la petite pouffa. Elle l'observa un instant et il fit de même, puis elle descendit du tabouret et partit en courant jusqu'à l’étage inférieur à la fenêtre du salon. Il l’y l'attendait. Leur manège se répéta, en va et vient de rez-de-chaussée au premier étage, jusqu'à ce que la mère de la fillette avertisse celle-ci d'arrêter. Elle dit d’un ton fatigué qu’elle lui donnait le tournis à monter et descendre sans arrêt comme elle le faisait. Tristounette, la petite remonta dans sa chambre et s'assit sur le banc devant la fenêtre de sa chambre. Le corbeau vient la rejoindre en haut et cogna dans la vitre, comme pour lui demander pourquoi elle ne jouait plus. La petite sourit et cogna à son tour dans la vitre avec son petit doigt. L'oiseau gère effrayer, l'écouta et répondit comme s'ils se parlaient. Ils s'observèrent et puis le volatil s'envola vers la rue, en regardant toujours la petite. Il fit plusieurs boucles dans les airs et se posa au sol. Magalie sourit à ses cambrioles. Elle ne remarqua pas la voiture qui venait à toute vitesse vers le malheureux Corvidé, pas plus, d’ailleurs, que l'oiseau. Son cri se répercuta dans le manoir et sa mère sursauta. La bambine dévala les escaliers, ouvrit la porte à la volée et couru rejoindre son ami ténébreux étendu sur la route de terre. C'est en pleure que son frère ainé et sa mère retrouvèrent Magalie, l'oiseau inanimé dans ses bras... 1903Magalie Adams, née en 1885 à Cardiff, Pays de Galles, Royaume-Uni. Son père était propriétaire d’une compagnie automobile et sa mère, femme à la maison. L’adolescence est toujours une phase difficile et Magalie n’y échappa pas. Cette époque se révéla très noire pour elle. Son père aisé ne manquait pas d’argent, alors elle put aller à l’école très longtemps, dans un collège pour filles. Elle ne concordait pas aux idéaux de l’école et avait tendance à discuter les règlements qu’elle considérait ridicules. Cela lui valut plusieurs punitions et ses doigts étaient souvent rouges des coups de règles, durant tout le temps de ses études. De plus, fréquemment, elle ne se sentait pas à sa place dans ce monde sévère et sombre qui lui imposait tout, incluant sa vie future. Son père et sa mère étaient aussi constamment sur son dos, voulant que leur fille soit parfaite. Son grand frère qu’elle adorait et avec lequel elle partageait une forte complicité était mort à peine quelques jours après le dix-septième anniversaire de la jeune fille. Ces seuls amis étaient les corbeaux et son professeur d’escrime qui venait lui enseigner chaque vendredi soir. Comme son père avait organisé son mariage bien avant qu’elle ne puisse parler. Elle dut se marier avec le fils d’un riche dignitaire Anglais, ses noces avaient été célébrées l’été de ses dix-huit ans. Et ce n’était pas pour plaire à Magalie. Elle n’avait osé qu’une fois s’opposer à son père à ce sujet et la colère qu’il lui avait faite était si grande, qu’elle accepta avec amertume son triste sort. C’est lors d’une nuit noire de décembre que Magalie perdit la vie. Il était à noter que c’était un soir de pleine lune et qu’il était dans les environs de 23 h. Elle vivait avec son époux depuis plusieurs mois déjà, il était désagréable, un peu violent et n’avait aucune considération pour les femmes. Malgré qu’il ne soit pas profondément méchant et que, des maris, il en avait des biens pires, Magalie le détestait profondément. Encore une fois, elle n’aimait pas devoir se conformer aux règles qu’on lui imposait et dont elle ne voyait pas l’importance. Elle avait jusqu’à maintenant repoussé toutes ses avances, mais savait que ça ne durerait pas… La jeune femme assise sur le bord de la fenêtre ouverte de sa chambre (qui était séparée de celle de son mari) observait nostalgiquement le ciel étoilé. Sa longue chevelure d’ébène cascadait le long de son corps légèrement musclé, alors que son regard se perdait dans le lointain. Elle passa la tête de l’autre côté de la vitre ouverte et émit un léger croassement. Elle s’empressa de refermer la fenêtre pour ne pas mourir de froid. Alors comme si elle l’avait appelé (ce qui est d’ailleurs le cas), un corbeau plana du grand chêne de l’autre côté de la route pour venir se poser sur une branche face à elle. L’oiseau l’observa et avec l’aide de son bec se mit à cogner sur la branche. C’était la façon qu’utilisait Magalie pour communiquer avec les (ses) corbeaux, car ils étaient assez intelligents pour comprendre ce drôle de langage. Bien sûr ce n’était rien de bien complexe, mais cela donnait à la jeune Galloise l’impression qu’ils se parlaient. Elle venait à peine de finir de taper sur la vitre que son époux rentra dans la pièce en claquant la porte, faisant s’envoler le volatil noir. Magalie devina facilement la raison de sa venue en cette pièce. Elle grogna en le foudroyant du regard lorsqu’il la prit par le bras. Son haleine empestait l’alcool comme il lui dit « Tu as fini de te dérober, petite sainte ! Maintenant, tu vas écouter ton mari et faire ton devoir de femme !, fit-il violemment en la secouant. » (Ajoutez quelques Bloddy dans ses phrases si vous voulez plus de réalisme.) Ne voulant pas être forcée à quoi que ce soit, devoir ou pas, elle se débattit. L’homme la gifla, s’il ne l’avait pas tenue elle serait tombée par terre par la force du coup. Il la repoussa vers son lit en se parlant à lui-même, se confortant dans l’idée qu’elle lui devait obéissance. Si elle avait encore des doutes, elle était maintenant certaine qu’il était saoul. Désemparée, la jeune Galloise voulut s’enfuir, mais il l’agrippa par les poignets avec sa main gauche et commença à déboutonner son pantalon. Magalie ne voulant pas se laisser faire, lui envoya un coup de pied bien placé. Alors qu’il la lâchait pour se recroqueviller sur lui-même et protéger ses parties intimes endolories. Elle s’enfuit en courant vers l’extérieur, bien décidée à quitter cet endroit et ce mari de malheurs. L’homme essaya de la retenir par la cheville, mais elle lui écrasa les doigts avec le talon de sa chaussure. Lorsqu’elle arriva dehors, elle repéra sa bicyclette et l’enfourcha rapidement pour partir le plus vite possible de son enfer des derniers mois, sans un regard derrière elle. Après quelques minutes à pédaler, elle s’arrêta essoufflée au milieu de la route, essuyant les larmes qu’elle ne pouvait plus retenir. L’adrénaline se dissipant dans son sang, elle vivait maintenant sa peur et en même temps sa joie d’être libérée de son mari tant détesté. Elle se demanda ce qu’elle allait faire maintenant… Il était hors de question qu’elle revienne. Alors qu’elle était perdue dans ses pensées, une corneille s’envola en croassant, un signe d’avertissement. La jeune fille fit volteface pour observer les alentours. Puis, d’un coup, sans qu’elle ne comprenne ce qui se passait, elle se retrouva écrasée par terre, à plusieurs mètres de son vélo. Une douleur fulgurante la parcourut dans tout le dos et dans ses coudes. Une personne la maintient au sol, alors qu’elle voulut se relever. Elle sentit une main sur son épaule et l’autre autour de son coup, ainsi que deux jambes de chaque côté de son corps, l’empêchant de se débattre. La jeune femme pensa, au début tout du moins, avoir affaire à son mari. Il se révéla rapidement que son adversaire était en fait un étrange jeune homme à la peau blanche et au visage déformé par un horrible rictus. Ce sourire macabre laissait entrevoir deux longues canines. Magalie écarquilla de grands yeux. Elle crut rêver en reconnaissant le monstre dont son grand-frère lui avait parlé plusieurs fois dans ses histoires lorsqu’elle était petite. Elle ne put admettre qu’un vampire s’attaquait à elle. « Tu sens délicieusement bon, tu le sais ? » Murmura-t-il doucement d’une voix qui la fit frémir. « Aussi bon que ton frère, je trouve… J’espère que tu as aussi bon goût que lui… » Comme pour accompagner sa remarque, il la huma juste sous sa mâchoire. Quand elle le regarda avec des yeux sombres de haine, il eut un petit rire. « Quoi ? Que pensais-tu ? Qu'il s'était enfui ? Pff. Mais non ! Je l’ai tué voyons… ! Oh, pauvre petite chose… Tu pleures ? Mais ne t’en fais pas, il était délicieux ! » Elle n’en croyait pas ses oreilles. Son frère avait certes disparu, mais elle n’aurait jamais cru que sa vie avait fini aux mains d’une des créatures de ses histoires. Magalie serra les dents, cet être ignoble avait tué son frère. Elle aurait aimé pouvoir essuyer ses larmes, ce monstre ne méritait pas de les voir. Quelle fin tragique pour son frère adoré… Pourtant, elle comprit qu’elle ne tarderait pas à vivre une mort semblable. Elle n’arrivait pas à bouger, même si elle se débattait. Le suceur de sang semblait trouver cela très drôle. Il approcha lentement sa bouche du cou de sa victime, qui tremblait. Il la mordit violemment et puis gorgée par gorgée, douloureusement, il la vida de son sang. Magalie se débattit du mieux qu’elle le put, mais elle ne pouvait rivaliser à la puissance du vampire. Elle sentit ses forces doucement l’abandonner alors qu’elle mourrait tranquillement. Ses dernières pensées furent pour sa vie qu’elle quittait avant d’avoir pu la vivre pleinement et aussi qu’elle se trouvait vraiment ridicule de ne pas avoir crié lorsqu’elle en avait encore la force ! 2009Le réveil, étrange sensation de vide et de troubles, on se demande où l’on est, qui ont est et qu'est-ce que l'on est. Magalie lors de son réveil ne comprenait plus rien, était-elle morte ? Des images floues d'une route et de sang lui revinrent en mémoire. Que se passait-il ? Elle avait une impression de flotter, elle ne sentait pas ses vêtements sur elle, ses longs cheveux noirs tirant légèrement vers le haut, ce n'était pas désagréable, même si cela n'était pas plaisant non plus, quelque chose sifflait à ses oreilles et elle sentait quelque chose dans son dos, un sac ? Elle se força à sortir de sa torpeur et ouvrit les yeux. Ce qu’elle vit, ce fut le vide et puis après les nuages, un peu de vert, des nuages, du vide. Un cri strident sortit de sa bouche, mais elle l’entendit à peine au travers du sifflement du vent. Elle tournait en dégringolant vers la terre ferme, à plus de 1000 mètres dans les airs. Les yeux grands comme sa peur, elle essaya de bouger, de reprendre contrôle, le moindrement, de sa chute libre. En bougeant ses bras et ses jambes, elle sentit dans son dos une troisième paire de membres bouger. Des muscles puissants s’activaient dans son dos et sa poitrine pour étendre ce qu’elle comprit être des ailes en voyant des plumes noires à la limite de son champ de vision. Elle sentit la forte pression de l’air contre ses ailes ouvertes et cria de nouveau en ressentant la douleur qui en résulta. Son réflex fut de les refermer, mais seulement une lui répondit. Elle reprit alors son tourbillon dans le ciel. Ne comprenant rien de ce qui se passait, Magalie se dit toutefois que sa seule chance de survie était ces ailes étranges dans son dos. Ayant observée des centaines de fois le vol des corbeaux, elle se dit qu’elle pouvait y arriver. Elle se concentra sur ses nouveaux muscles et ses nouvelles articulations. La nouvelle Ange referma ses deux ailes, pour les rouvrir brusquement, se retrouvant ainsi face au sol. Pour ne pas se fracturer les os, elle essaya de diminuer la pression sur ses ailes en les refermant et les ouvrant un petit peu lorsqu’elle sentait qu’ils allaient lâcher. Lorsque les têtes des sapins se situaient à moins d’une vingtaine de mètres en dessous, elle cria de nouveau de peur. Elle descendait encore beaucoup trop vite !! Elle plongea entre leurs branches, refermant ses ailes, tout juste avant qu’elles ne se fracassent contre les troncs. Ouch, aie, ouah. Elle sentait la douleur de plusieurs éraflures, mais heureusement, elle n’avait rien de cassé. Elle reprit son calme en regardant autour d’elle. Elle fut surprise de se retrouver dans une forêt de conifères en plein hiver. La neige lui avait fait un petit coussin à l’atterrissage. Elle se mit rapidement à grelotter et ramena ses bras et ses ailes autour d’elle. Elle ne perdit pas de temps à réfléchir ou à comprendre sa situation, elle devait survivre. Elle se releva difficilement et se mit à avancer en titubant. Elle devait tenir ses ailes autour d’elle comme un manteau, sinon elles avaient tendance à trainer derrière elle. Elle chercha au travers de la forêt un abri où se cacher et peut-être retrouver un peu de civilisation. Pourtant, rien, que le silence inquiétant. Elle sentait passer dans sous sa peau une énergie étrange qui la chatouillait et qui la réchauffait. Elle ne le savait pas encore, mais c’était son énergie angélique qui l’empêchait de geler sur place. Un peu moins d’une heure après, lorsqu'elle ne sentait plus ses doigts et que son énergie s’épuisait, elle vit au loin que la forêt s’ouvrait sur une minuscule clairière. Elle se força à marcher plus vite, espérant rencontrer une route. En arrivant à la lisière des arbres, elle vit une petite maisonnette avec de la fumée qui sortait de la cheminée au bord d’un lac. Elle s’y précipita en se coupant les pieds sur les roches et les troncs d’arbres tombés. Tombant à plusieurs reprises, à bout de forces. Arrivée à la porte, elle cogna le plus fort qu’elle put. Comme elle ne recevait pas de réponse, elle cogna plus fort. Elle entendit du bruit dans la maison et puis des pas qui se rapprochaient. La porte s’ouvrit pour laisser place à un homme de grande stature qui tenait une carabine. Il écarquilla les yeux en la voyant. « S’il vous plaît… aidez-moi… » Elle se laissa tomber dans ses bras, épuisée. Lorsqu’elle se réveilla, cet homme lui appris qu’il ne lui voulait pas de mal et lui dit qu’elle avait été chanceuse de tomber sur lui ! Son nom était Steve, il était un Sorcier et vivait dans cette forêt reculée depuis un demi-siècle pour surveiller une base militaire de la W.E.F., mais il se contenta de lui dire qui il était et non ce qu’il était. Il lui prodigua la chaleur de sa maison et des vêtements. La nouvelle Ange lui posa quelques questions, mais cet homme au regard profond n’y répondait que par monosyllabes et encore ! Il ne vivait pas dans le bois pour rien ! Il se passa deux jours avant que quoi que ce soit de notable arriva. C’est un bruit d’hélicoptère qui vient briser le silence de la forêt. La jeune fille, curieuse et inquiète, alla voir à la fenêtre ce qui se passait, croyant que c’était peut-être un dragon… C’est alors qu’elle ressentit un pincement à la base de son cou. Elle y porta la main et enleva une petite fléchette. Elle eut à peine le temps de froncer les sourcils avant de s’endormir. 2009 à 2011Par la suite, Aela passa environ trois ans à la C.A.T. où elle apprit à se servir de ses pouvoirs d’Anges. Après quelque temps, elle voulut aussi devenir une agente qui travaille à l’extérieur de la base pour faire des missions de sauvetages et aussi pour voir le monde nouveau. Elle essaya donc de se former pour améliorer ses compétences dans plusieurs domaines pratiques. Sa connaissance de l’escrime l’aida beaucoup, par ailleurs, lui donnant déjà de bonnes bases en autodéfense. Après plus d’un an de pratiques et d’entrainement et de nombreuses demandes pour pouvoir monter en grade, elle commençait à se décourager. Surtout qu’un ami qu’elle s’était fait en s’entraînant avait déjà participé à quelques missions. Il se prénommait Brian et était un Elfe d’une centaine d’années qui venait lui aussi de la Grande-Bretagne. Voyant le découragement de son amie, il lui proposa de le suivre en dehors de la C.A.T. lors de sa prochaine mission. Aela était plutôt réticente, mais il élabora un plan et elle ne put qu’accepter de le suivre. Elle ne voulait pas le décevoir et il semblait tellement motivé… La jeune Ange trouvait que c’était dangereux, mais il lui assura que tout se déroulerait bien, qu’il la protégerait. Oui… il était un peu naïf, en plus d’être très confiant en ses capacités. Comme son rôle était de s’assurer de la présence de tous les soldats de sa division, il fit venir Aela en douce dans son groupe et cacha sa présence à son supérieur. Elle se retrouva donc au milieu de soldats qui se dirigeaient vers une des bases de la W.E.F. Elle suivait Brian comme son ombre, effrayée et impressionnée par le monde qui l’entourait et toutes ces nouveautés qu’elle avait pu à peine voir depuis sa renaissance. Elle remarqua bien vite que les voitures ne volaient pas. Elle le savait déjà grâce aux livres, mais maintenant, elle le voyait de ses yeux. Elle le nota mentalement pour le dire à Ajartiel plus tard. Lorsqu’ils arrivèrent sur le lieu de l’infiltration, ils furent divisés en sous-groupes pour être plus efficaces et Aela se retrouva séparée de son protecteur. Elle eut de la difficulté à garder son sang-froid, alors qu’elle pénétrait dans les quartiers de l’organisation qui avait pour but de détruire toute forme de vie mystique. L’infiltration fut un succès, mais au retour, Brian ne trouva pas de trace de son amie. Il avait beau questionner tout le monde, personne n’avait remarqué sa disparition. Pris de panique, il en avertit son supérieur, lui demandant d’aller la chercher de nouveau dans la base de la W.E.F. Sa demande fut rejetée, c’était trop risqué. Leur passage avait sûrement déjà été détecté en plus de ce qu’ils avaient volé. S’ils y retournaient, c’était la mort assurée. Ce fut le dernier jour que l’on vit Aela… 2014On la crut morte jusqu’au début de l’année 2014. Elle fut aperçue par un membre de la C.A.T. à Londres. Rapidement, plusieurs équipes furent dépêchées sur place pour la retrouver. Elle fut appréhendée dans un cimetière de la ville et elle n’offrit pas de résistance. Aela dut se faire enlever des puces de repérages de sous sa peau avant de revenir à la base. Tout ce que l’on savait sur ces trois ans où elle avait disparu était qu’elle avait travaillé pour la W.E.F. Que ce soit de pleine volonté ou contre son gré, personne ne le savait. Caractère : À la suite de son retour à la C.A.T., sa peur pour les vampires c'est mué en haine. Elle n'est pas capable de les sentir. Il n’y a que Stella qui peut l’approcher sans risquer de s’exposer à sa colère. Elle s'est également refermée sur elle-même. Elle parle très peu et lorsqu’elle le fait c’est souvent avec une touche de cynisme dans la voix. Elle paraît froide et même un peu hautaine. On pourrait parfois croire qu’elle n’a pas de considération pour les autres. Elle ne fait plus confiance à personne et affiche un regard perçant et calculateur. Ael semble très consciente de ses capacités et affiche une grande confiance en elle. Elle est difficile à cernée et passe de longs moments seule, perdue dans ses pensées. Seuls ses anciens amis peuvent voir parfois, pendant quelques instants une partie de qui elle était avant sa disparition. Aela n’est maintenant plus victime de crises d'angoisses comme c’était le cas avant. Amours/ami(e)s : Si elle est toujours amoureuse d’Ajartiel, elle ne le laisse pas voir. Par contre, elle conserve toutefois des contacts presque amicaux avec lui et Stella, ainsi que quelques rares personnes. Attention, si vous souhaitez devenir son ami, je vous conseille d’être très patient, car acquérir sa confiance est un travail de longue haleine. Si vous êtes un vampire en plus… houlala ! Mais essayer en vaut la peine, même si ça ne paraît pas toujours, elle tient à ses amis. Physique : Elle a coupée ses cheveux noirs juste un peu en dessous de ses épaules et les attaches la plupart du temps en chignon ou en tresse. Ses yeux sont gris acier avec une touche de bleu pâle au centre. Elle mesure environ 5,5 pieds et est plutôt musclée. Elle a une bonne agilité et de bons réflexes. Ses ailes sont noires et mesurent environ 4 mètres d’envergures. Elle n’éprouve plus de difficulté à rétracter ses ailes, du moins, si c’est le cas, elle ne le laisse pas savoir. Elle porte, maintenant, majoritairement des vêtements qui lui permettent d’avoir une grande liberté de mouvement et qui ont des couleurs sobres. Elle porte en permanence un collier avec une plume noir et un corbeau en métal accroché après, cadeau de son frère et qu’elle a pu récupérer lors de sa disparition. Signes particuliers : Il paraît qu'elle a une odeur très appétissante pour les vampires. Elle parle quelques mots en corbeau, mais préfère leur apprendre une espèce de code morse et communiquer ainsi avec eux. Elle parle couramment l'anglais, le gallois et le latin, ainsi qu’un peu de français. Lorsqu’elle n’est pas en train de s’entraîner, on peut la surprendre à jouer du piano ou chanter. - Spoiler:
Voici la première version de la fiche d'Aela:Bon avant de commencer juste vous prévenir que même en sachant les règlements j'ai toujours la fâcheuse habitude de me mettre dans le pétrin avec se type de forum, donc s’il y a quoi que ce soit qui cloche faite moi signe gentiment s.v.p., car je le fais sûrement sans connaissance de cause. Ah oui et j'ADORE votre site et malgré que je risque de faire pas plus de 11 lignes je m’inscris. Nom : Elle ne le dit pas, mais c'est Adams Prénom : Elle veut se faire appeler Aela (qui signifie Ange en arabe, je crois, en tout cas c'est se que l'on ma dit) Vrai prénom: Magalie Surnom : Ael et A Âge : Elle a physiquement l'air d'avoir 17-18 ans (l’âge où elle est morte), elle est « « renée » » 100 ans plus tard et elle a vécu très peu de temps avant de se faire recruter par la C.A.T. Sexe : Jeune femme Race : Ange Histoire : Pardonnez-moi si je meurs Un peu plus chaque soir Quand je m'endors dans ce couloir Dans cet espace plus froid Plus sombre qu'un simple cauchemar Profond sommeil Quand on ne se réveille pas Il est déjà trop tard Cauchemar Magalie, du haut de ses cinq ans, monta les escaliers à toute vitesse et se perchant sur un tabouret et la pointe de ses pieds regarda par la fenêtre et sourit de toutes ses dents lorsqu'un corbeau se posa sur une branche face à elle. L'oiseau noir croassa et la petite pouffa. Elle l'observât un instant et il fit de même, puis elle descendit du tabouret et partie en courant jusqu'en bas à la fenêtre du salon, il l'attendait. Et ils continuèrent leur manège jusqu'à ce que la mère de la fillette lui dît d'arrêter, car elle lui donnait le tournis. Marabout, la petite remonta dans sa chambre et s'assit sur le siège devant la vitre de sa chambre. Le corbeau viens la rejoindre et cogna dans la vitre, comme pour lui demander se qu'elle fessait et pourquoi elle ne jouait plus. La petite ria et cogna à son tour dans la vitre avec son petit doigt. L'oiseau gère effrayer, l'écouta et répondit comme s'il lui parlait. Ils s'observèrent et puis le volatil s'envola vers la rue, en regardant toujours la petite. Il fit plusieurs pirouettes et se posas au sol. Magalie sourit, mais ne remarqua pas la voiture qui s'en venait à toute vitesse, pas plus que l'oiseau d'ailleurs. Son cri se répercuta dans la maison blanche et sa mère sursauta. La bambine courut à toute vitesse pour aller en bas, ouvrit la porte à la volée et partie rejoindre son ami ténébreux. C'est en pleure que son frère ainé et sa mère la retrouva à côté de l'oiseau inanimé... 12 ans plus tardMagalie Adams, née en 1885 à Caernarfon, Pays de Galles, Royaume-Uni. Son père était possesseur d’une compagnie automobile et sa mère, femme à la maison. Passions : langues, natation, violon et oiseaux de malheur (aussi appelé corbeaux). L’adolescente est toujours une phase difficile et Magalie n’y échappa pas. Cette époque se révéla très noire pour elle. Ses parents aisés ne manquaient pas d’argent, alors elle put aller à l’école très longtemps, mais étant une des seules filles, elle se fit vite rejeter et brutaliser par les autres élèves. Son frère, avec qui elle s’entendait si bien, était mort l’année d’avant. Les seuls avec qui elle s’entendait bien étaient les oiseaux en particulier les corbeaux avec qui elle avait une réelle complicité. Son père ayant préparé son mariage bien avant qu’elle puisse parler, elle fit une crise à quinze ans, mais rien ne changea et elle se marierait tout de même avec un homme de 34 ans qui travaillait comme avocat, lorsqu’elle atteindra l’âge fatidique de 18 ans. Depuis ce temps, elle s’était encore plus fermée aux autres et avait commencé à s’habiller presque exclusivement en noir, jusqu’à ce que sa mère lui démontre TRÈS clairement que ce n’était pas apprécier. C’est donc lors d’une nuit noire que commence le début de la fin de Magalie, on pourrait tout de fois rajouté que c’était soir de pleine lune et qu’il était dans les environs de 23 h. La jeune fille assise sur le bord de la fenêtre ouverte de sa chambre observait nostalgiquement le ciel étoilé, sa longue chevelure ébène cascadant le long de son corps légèrement musclé. Elle passa la tête de l’autre côté de la vitre ouverte et émis un léger croassement, alors comme si elle l’avait appelé (ce qui est d’ailleurs le cas), un corbeau plana du grand chêne dans face pour venir se poser sur une branche face à l’adolescente. L’oiseau l’observât et avec l’aide de son bec se mit à cogner sur la branche, s’était la façon qu’utilisait Magalie pour communiquer avec les (ses) corbeaux, car ils étaient assez intelligents pour comprendre se drôle de langage. Ils s’échangèrent quelques « phrases » et Aela finit par lui sourire tristement en disant à voix haute : « Il fait beau se soir, tu as raison. » Elle prit une pause et rajouta, « J’aimerais tellement pouvoir voler moi aussi, pour toi tout ça est normal, mais pas pour moi. Je m’imagine très bien, le vent dans le visage entrait de faire toutes sortes d’acrobaties… » Elle venait à peine de finir sa phrase que son père rentra dans la pièce en claquant la porte, fessant envoler le volatile noire. Magalie connaissait que trop bien ce que cela signifiait, elle écarquilla les yeux pendant que son père la prenait par le bras. Ne voulant pas revivre les scènes douloureuses de son enfance, elle se débattit. Le père la gifla, s’il ne l’avait pas tenu elle serait tombée par terre. Il marmonna quelque chose comme « sois gentille », il était clair qu’il était saoul. Désemparée, la jeune fille voulut s’enfuir, mais il l’agrippa par les poignets avec sa main gauche et commença à déboutonner son pantalon. L’adolescente ne voulant pas se laisser faire comme lorsqu’elle était jeune, lui envoya un coup de pied bien placé et comme il la lâchait pour se recroquevillé sur lui-même, elle partit en courant vers l’extérieur, bien décidé à s’enfuir une fois pour toutes de cet endroit de malheurs, son père essaya de la retenir par la cheville, mais lui écrasa les doigts avec le talon de sa chaussure. Dehors, elle enfourcha rapidement sa bicyclette et partie bien rapidement sans un regard derrière elle. Après quelques minutes elle s’arrêta essouffler au milieu de la route, essuyant les larmes qu’elle ne pouvait plus retenir. Les souvenirs douloureux de ses 12 ans lui revenant à la mémoire, elle pleura de plus belle. Tout à coup, une corneille s’envola en croassant, un signe d’avertissement. La jeune fille fit volte-face pour observer les alentours. Puis, d’un coup elle se retrouva par terre écraser par une personne, qui la maintenait au sol une main sur son épaule et l’autre autour de son coup, les deux jambes de chaque côté de son corps. La jeune pensa au début avoir à faire à son père, mais il se révéla que son adversaire était un jeune homme à la peau blanche et au visage déformé en un rictus qui laissait entrevoir deux canines. Magalie écarquilla de grands yeux, les êtres mythiques appartenaient depuis peu aux légendes et elle ne put admettre qu’un vampire s’attaqua à elle. « Tu sens très bon, tu sais ? Aussi bon que ton frère, j’espère que tu goûtes aussi bon… » comme pour accompagner sa remarque, il la huma de plus belle. Quand elle l'observa avec des points d'interrogation dans les yeux, il rit et répondit à sa question silencieuse « Et oui c'est moi qui l'est tuer, que pensais-tu ? Qu'il s'était enfui ? Pff » Elle n’en croyait pas c’est oreilles, son frère avait certes disparu, mais elle n’avait jamais cru que c’était comme cela qu’il était mort. Quelle fin tragique, mais il faut croire qu’elle ne tarderait pas à en vivre une semblable. Elle ne bougea pas tétanisée par la peur. Le suceur de sang semblait trouver cela très drôle. Il approcha lentement sa bouche du cou de sa victime, qui suait à grosses gouttes. Il s’apprêtait à la mordre lorsqu’une voiture les écrasa violemment (HAHAHA, que je suis sadique :devil2: ). Après, tout fut noir, la dernière qu’elle entendit c’est un cri haut perché lancer sûrement par une femme, disant : « Elle est morte… elle… est... morte » Sa mère… La dernière pensée de la jeune fut pour le vampire, ce sadique était-il-mort ? Un peu plus de cent ans plus tard...Le réveil, étrange sensation de vide et de troubles, on se demande ou on est, qui ont est et qu'est-ce qu'on est. Magalie lors de son réveil ne comprenait plus rien, était-elle morte ? Des images floues d'une voiture et de cris lui revinrent en mémoire, que se passait-il ? Avant d'ouvrir les yeux, elle écouta et sentit ce qui se passait. Elle avait une impression de flotter, elle ne sentait pas de vêtements sur elle, étrange pourtant ce n'était pas son genre de se promener nue, ses longs cheveux noirs tirant légèrement vers le haut, ce n'était pas désagréable, même si cela n'était pas plaisant non plus, quelque chose sifflait à ses oreilles et elle sentait quelque chose dans son dos, un sac ? Doucement, ses paupières se soulevèrent et ce qu'elle remarqua la figea sur place (même si déjà elle ne bougeait pas beaucoup :ajartiel: ( parenthèse dans parenthèse : :ajartiel: = :Ajartiel: XD) ), elle tombait littéralement dans le vide, la tête la première. Les yeux grands comme sa peur, elle se retourna et put voir que le sol se rapprochait lentement, mais tout de même beaucoup trop vite, alors prise de panique, elle inspirait et... ne fit plus rien. Elle s'avait qu'à cette altitude l'air était irrespirable, alors comme se fessait-il qu'elle ne ressentait pas le mon du monde le manque d'oxygène ? Cette pensée lui coupa le gout de crier, alors elle était vraiment morte ? Elle n'aurait jamais cru que l'Enfer ressemblait à cela. Lorsque le sol se situait à moins de 50 mètres en dessous, elle cria tout de même et lorsqu'elle le fit, elle sentit que des muscles dans son dos s'activaient, des muscles qu'elle n'avait jamais sentis au paravent. Elle regarda par dessous son épaule et fut étonnée d'y découvrir deux grandes ailes noires, décidément elle n'y comprenait plus rien. Tentant la tout pour le tout, elle essaya de les déployer, se qui se fit 10 mètres avant de s'écraser, alors elle plana quelques secondes avant de tout perdre le contrôle et de tomber pour de bon dans une forêt de pins et d'épinettes. Ouch, aie, ouah. Elle sentait la douleur, cette situation l'énervait au plus haut point, elle n'y comprenait, vraiment, mais vraiment rien. Quand elle rouvrir les yeux (elle les avait fermés en tombant), elle remarqua qu'elle était eu milieu d'une forêt et qu'il y avait de la neige partout, elle remarqua aussi qu'elle était frigorifier et frissonna, alors ses ailes, comme par réflexes, l'enveloppèrent. Magalie put donc les observer, à sa guise, elles étaient plutôt longues et étonnamment couvertes de plumes noires, comme celles d'un corbeau. Corbeau, ce mot déchira sa poitrine, au sens figurer, mais c'était vraiment ce qu'elle ressentait, un trou étrange et douloureux qui se serait formé dans sa poitrine au rappelle de ces mauvais souvenirs. Elle se recroquevilla sur elle même voulant boucher ce trou qui lui donnait l'impression de mourir, encore une fois. Une heure après environ, lorsqu'elle ne sentait plus ses doigts, elle se décida à bouger, alors lentement elle se leva et commença à marcher. Sachant pertinemment qu'aucun être humain ne devait être dans les parages, elle préféra questionner ses oiseaux préférer avec le peu qu'elle connaissait de leur langage. Elle croassa en appelant à l'aide. Un oiseau se posas sur un arbre quelques branches plus haut et croassa en retour, une corneille, pas aussi intelligente qu'un corbeau, mais ça ferait l'affaire. Alors, dans la langue de son interlocutrice, la jeune femme lui demanda, assez médiocrement elle le savait, où elle pourrait trouver des nids de pierres (des maisons). C'est donc comme ça qu'elle se retrouva à courir derrière un volatile noir et qu'elle arriva proche d'un bien assez drôle de bâtiment (elle ignorait que c'était la base canadienne de la W.E.F.), mais elle décida tout de même d'y aller. Mais lorsqu'elle s'approchait lentement plein de gens en sortirent armés jusqu’aux dents et habillé beaucoup plus chaudement que Magalie. Celle-ci, compris tout de suite son erreur et partit à courir pour retrouver refuge dans la forêt. La corneille qui l'avait aidé tout à l'heure, lourde de regrets, lui désigna un endroit où se cacher. N'hésitant pas un instant la jeune femme s’y terra. Les hommes aux casques passèrent sans la remarquer, enfin elle l'espérait, car elle ne voyait que leurs pieds. Soulager, elle inspira, même si cela ne donna pas l'effet voulu, de la relaxer, puisqu'elle n'avait plus besoin de respirer. Elle allait se relever lorsqu'elle sentit un pincement à la base du coup, elle enleva ce qui lui avait fait cela et eu à peine regardé la petite seringue, avant de s'endormir. Enfin fini l'histoire :sn4: Caractère : Sa peur pour les vampires s’est muée en haine et elle n'est pas capable de les sentir, rejetant la faute de l'autre sur ceux qui habitent la C.A.T, mais sa vengeance se résume pour le moment à de mauvaises blagues. Ael lorsqu'elle jeune était très tannante et adorait faire des farces avec son frère, lorsque celui-ci l'a quitté, elle c'est refermé sur elle-même se créant un cocon de protection. Lorsque son père l'a agressé pour la première fois, elle a carrément perdu toutes traces de jeunesse, pour devenir une adulte, psychologiquement parlant. Avec Ajartiel, elle réapprend à faire sortir son côté extraverti et elle peut une peu oublier sa douleur. Elle a au fond d’elle un vide, à cause de sa mère qui n’a pas été présente pour elle, de son père qui l’agressait et de son frère qui est mort trop tôt, elle a aussi de temps en temps des crises d'angoisses qui la font trembler de partout et où elle perd le contrôle, ça ressemble un peu à de l'épilepsie. Elle sait ce que s’est de vivre seul, sans personne pour aider. Elle est indépendante et même si elle a un côté froid au premier abord, c’est une jeune femme d’une grande gentillesse. Aela est toujours prête à aider les siens, mais elle est très timide, quand il s’agit de parler de sentiments avec un homme qui lui plaît. Amours/ami(e)s : Elle est amoureuse d’Ajartiel, étant celui qui lui a redonné goût à la « vie », plusieurs le remarquerons, sauf l'intéresser (POURQUOOOOOIIIIIIIIIIIII la vie est si cruel ? ^). Elle est plutôt sociale s'étant ouvert aux autres, mais elle ne parle pas de son passé à personne. Elle aime beaucoup les autres, mais à aussi parfois besoins d'être seul pour se ressourcer (et pleurer). Elle ne se tient pas avec les vampires aussi gentils soient-ils, peut-être qu'un jour ça va changer, mais cela risque de prendre du temps. Physique : Elle a de très longs cheveux noirs comme la suie, qui lui arrivent aux mollets. Ses yeux sont gris acier avec au centre une touche de bleu pâle, se qui donne quelque chose de plutôt hypnotisant et en plus la dimension que prend le bleu peu changer dépendant de ses humeurs. Elle mesure environ 5,8 pieds, elle donc assez grande et plutôt mince. Elle a une musculature féline et une bonne agilité. Ses ailes sont étrangement noires et mesurent environ 2 mètres chacune. Elle a par ailleurs une certaine difficulté à les « rétractés », en fait c'est légèrement souffrant, mais elle y arrive. Elle porte habituellement des robes ou des jupes longues, optant pour les pantalons quand cas de besoin. Elle porte en permanence un collier avec une plume noire et un corbeau en métal accroché après. Signes particuliers : Il parait qu'elle à une odeur très appétissante pour les vampires. Elle parle quelques mots en corbeau, mais préfère leur apprendre une espèce de code morse et communiquer ainsi avec eux. Elle parle couramment l'anglais, le français et le gallois et baragouine (se débrouille) avec plusieurs autres langues telles que l'espagnol ,l'arabe et le latin.
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